Il avait fait le tour de la ville, remarquant qu'un magasin de vêtements avait ouvert, puis il avait traversé les champs en respirant à grand poumons l'air changeant de cette fin de journée avant de finalement arriver à la forêt.
Il n'était jamais allé jusque là, se satisfaisant amplement de sa chambre, des jardins et de l'aller-retour entre Asiya et la volière.
Il ne fit pas attention aux panneaux de danger qui ostruaient l'entrée de la forêt et il continua sa petite promenade au gré des sentiers de feuilles.
Au bout d'une heure, alors que le ciel chngeait de couleur, il tomba sur une petite clairière traversée par un ruisseau.
Trouvant cela charmant, il s'assit sur un cailloux, et, le bas du pantalon retroussé, il laissa ses pieds nus se rafraîchir.